Les déclarations après les matches de la 25e et avant-dernière journée du Top 14.
Camille Chat (talonneur du Racing 92): « C’était primordial pour nous que l’on gagne aujourd’hui, après trois semaines à manger notre pain noir. Donc voilà, on peut sourire à présent, même si on a encore beaucoup de travail à faire pour la suite. »
Castres – Stade français 27 – 18
Gaëtan Barlot (talonneur de Castres): « On a battu la meilleure équipe du Top 14 à l’extérieur. C’est une victoire qui fait du bien face au deuxième du championnat. On a dominé cette rencontre après la pause avec une belle occupation, un jeu simple et efficace. »
Laurent Labit (entraîneur du Stade français): « On a plutôt réalisé un mauvais match, notamment dans la discipline. On a donné trop de munitions à Castres. En fait on a tout fait à l’envers. »
Perpignan – Union Bordeaux Bègles 37-30
Alan Brazo (3e ligne de l’USAP): « Il y avait plein de petites choses pour ne pas passer à côté du match: le départ de joueurs emblématiques, l’envie d’effacer la désillusion contre Clermont au niveau du combat et le fait de jouer la qualification lors de la dernière journée à Pau. On était loin d’imaginer cela en janvier quand on a reçu Lyon alors qu’on pensait surtout à se maintenir. »
Yannick Bru (manager de l’UBB): « C’est un échec. On était venu pour prendre au moins un point. Tout le monde nous voit beau, brillant, étincelant mais on manque de constance. On a du mal à élever notre curseur au niveau de l’engagement et de la solidarité. »
Montpellier – Lyon 41-26
Lenni Nouchi (capitaine de Montpellier): « Ça fait du bien de gagner avec la manière (avant le barrage pour le maintien, ndlr). On a fait un match complet, même si on prend trois essais en fin de match. On s’est beaucoup parlé, on s’est dit les vérités. On peut avancer plus sereinement. Notre objectif est de sauver le club ».
Baptiste Couilloud (demi de mêlée de Lyon): « C’est la honte. Notre prestation est horrible. Le début de match est catastrophique. Dans l’intensité, il n’y a rien. Il y a une grosse partie mentale dans tout ça. Beaucoup de joueurs ont triché toute la saison. La preuve est encore là ».
Justin Bouraux (ouvreur d’Oyonnax): « Ce fut un match plein, dur physiquement. On a été assez solide en défense, surtout dans notre camp en fin de match. C’est le match de conclusion pour ceux qui partent et pour ceux qui restent ça va redonner une dynamique pour la saison prochaine ».
Grégory Patat (manager de Bayonne): « J’attendais du contenu mais il n’y en a pas eu. Quand on voit l’investissement des joueurs en première mi-temps. Douze ballons perdus, des fautes faciles… Il y a de la colère car on pouvait largement gagner avec tout le respect que j’ai pour Oyonnax. « .
© 2024 AFP
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