Le coup de sifflet qui changea tout (dont 800 000 euros pour la FFR)

Dans les dernières minutes palpitantes du Crunch, un moment crucial est venu bouleverser le cours du jeu. Thomas Ramos, loin de se contenter d’assurer la victoire aux Bleus, a déclenché un véritable séisme en sanctionnant une faute, jugée sévère par de nombreux observateurs anglais. Ce geste a catapulté la France à la deuxième place du Tournoi, s’accompagnant d’une prime financière des plus conséquentes.

Alors que le chronomètre s’égrainait inexorablement et que l’arbitre australien Angus Gardner levait le bras, une pénalité fut octroyée au XV de France. Située à cinquante mètres des poteaux, cette occasion semblait improbable. Mais dans ce moment critique, tout reposait sur les épaules de Thomas Ramos. Contre toute attente, il ne faiblit pas et offrit la victoire aux Bleus dans les derniers instants.

Cependant, cette décision ne fut pas exempte de controverses. Nombreux sont ceux parmi les observateurs anglais, les journalistes et les anciens joueurs à critiquer la sévérité de la sanction. L’ancien international anglais Andy Goode, réputé pour son soutien à l’équipe de France, s’est élevé contre cette décision, la qualifiant de « ridicule » pour décider du sort du match.

En plus de la victoire, cette pénalité s’est révélée être une véritable bouffée d’oxygène pour la FFR, en proie à des difficultés financières. Le succès obtenu a permis au XV de France de se hisser à la deuxième place du Tournoi 2024, lui assurant une prime conséquente de 800 000 euros. Cette somme représente la différence entre la prime accordée au deuxième du Tournoi (2,8 millions d’euros) et celle attribuée au troisième (2 millions d’euros) par les organisateurs.

Cependant, pour la Fédération, ce gain n’est pas aussi conséquent qu’il n’y paraît. Il faut en effet déduire de cette somme les primes de victoire des Bleus lors de ce Crunch et pour leur seconde place dans le Tournoi. Ce moment du rugby restera gravé dans les mémoires comme une démonstration de courage et de détermination, mais aussi comme un tournant financier crucial pour la FFR.


Commentaires

  1. Avatar de daniel

    et bien tant mieux ! c’est mieux dans la caisse de la FFR que celle des Anglais

  2. Avatar de Jean Christophe Delpit
    Jean Christophe Delpit

    oui c’est sur !

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