Pour le deuxième quart de finale continental de son histoire, l’UBB fait face à un sacré défi avec la venue des Harlequins, une équipe aussi fantasque qu’imprévisible, capable de s’offrir le Racing 92 (31-28) mais également de couler contre Toulouse (47-19).
Mais, pour rejoindre les demies, les hommes de Yannick Bru doivent gagner en constance. « Si on est l’équipe de Bordeaux-Bègles que je connais depuis le début de l’année, on devrait faire un match de merde (contre les Harlequins, NDLR). Un coup là (haut), un coup là (bas), un bon match face à Toulouse, un match catastrophique à Lyon, un pic d’émotion (contre les Saracens) donc normalement on devrait faire quelque chose de dégueulasse samedi », a pesté le manager girondin.
Après une phase de poules quasi-parfaite (trois victoires en quatre matches) et une démonstration devant les Saracens (45-12) en huitièmes, l’UBB, malgré les absences de l’ailier Damian Penaud et de l’ouvreur Matthieu Jalibert, semble armée pour le dernier carré.