Lyon a réalisé une performance éclatante en s’imposant largement (35-3) face au Stade Français, ce dimanche soir au Stade de Gerland. Avec cinq essais à leur actif, les Lyonnais ont démontré leur supériorité sur le terrain.
Une domination de Lyon sans partage
Dès le coup d’envoi, Lyon a pris le contrôle du match. Les Parisiens, déguisés en sparring-partners, ont offert des espaces que les attaquants lyonnais ont su exploiter. Baptiste Couilloud, demi de mêlée international, a été le héros de la soirée, inscrivant deux essais (42e, 48e) dans son style incisif.
L’ouverture du score est intervenue à la 12e minute. Monty Ioane a brillamment profité d’une relance de l’excellent Niniashvili. À la pause, Lyon menait 14-3. Ce score était peu représentatif de la domination lyonnaise. En effet, les Parisiens ont été apathiques, et l’arrière international Léo Barré a rencontré de nombreuses difficultés. Son équipe n’a réussi qu’à marquer un but de pénalité juste avant la mi-temps pour éviter un zéro pointé.
Un second acte explosif
Au retour des vestiaires, Lyon a continué sur sa lancée. Couilloud a inscrit son premier essai dès la 42e minute. Puis, il a ajouté un doublé (48e) avant qu’Ethan Dumortier ne marque un essai (62e). Les Lyonnais ont ainsi décroché le bonus offensif, portant le score à 35-3. En parallèle, les Parisiens, réduits à dix joueurs après le carton jaune de Baptiste Pesenti à la 78e minute, n’ont jamais réussi à inquiéter leurs adversaires.
Cette large victoire permet à Lyon de se hisser à la quatrième place du classement, derrière Bordeaux-Bègles, Toulouse et La Rochelle. En revanche, le Stade Français encaisse sa quatrième défaite en six journées et se retrouve 13e, avant-dernier du Top 14.
Conclusion
Pour résumer, Lyon a dominé le Stade Français de bout en bout. Les Lyonnais ont affiché une puissance offensive impressionnante. Grâce à cette victoire, le LOU confirme son statut de prétendant sérieux au podium. De leur côté, le Stade Français doit se ressaisir rapidement pour éviter une crise plus profonde.
