RCNM : Choc au sommet……des Pyrénées.

C’est un véritable choc qui va se dérouler ce dimanche au pied des Pyrénées entre 2 équipes qui n’ont perdu qu’une fois lors des 9 dernières journées.
Le TPR joue un véritable 1/4 de finale à domicile face à une formation Audoise actuellement irrésistible depuis le début de l’année 2014.
Le Racing reste sur 3 victoires d’affilées à 5 points, la dernière face au voisin Carcassonnais lors du derby Audois. Tarbes de son côté a réalisé une belle performance en gagnant chez les gars de la colombe, mettant du coup Colomiers hors-course pour les barrages.
La guerre des rucks.
Vu la météo annoncée dans les Hautes-Pyrénées pour ce week-end (pluie et peut-être de la grêle), le Racing s’attend à une guerre de tranchées dans les phases de conquête. D’ailleurs, Justin Harrison a donné le ton dès la fin de la rencontre face à Carcassonne, en quémandant un arbitrage plus rigoureux dans les phases de rucks afin de permettre à son équipe d’éjecter au plus vite le ballon vers la cavalerie légère qui, depuis ce week-end, est la meilleure attaque du championnat.
19-19 à l’aller.
Quoiqu’il en soit le Rcnm est prêt à affronter l’ours Tarbais dans son antre de Maurice Trélut, les joueurs ont même une revanche à prendre sur le match aller. En effet, les Tarbais avaient arraché le match nul à l’ultime seconde sur une pénalité suite à une dernière mêlée bien négociée par les Bigourdans. Ce sont d’ailleurs les 2 seuls points perdus par les Narbonnais sur leur terrain fétiche du parc des sports et de l’amitié.
Pour ce déplacement Justin Harrison a effectué un seul changement par rapport à la semaine dernière, le centre Tongien Karne Kaufana remplace l’international Portugais José Lima qui est forfait suite à une blessure à l’aine.
 
La composition :
Petit (cap.), Vuli, Wright – Strauss, Aurignac – Beaux, Jenkins, Herjean – (m) Valentine , (o) Etienne – Fekitoa, Kaufana, Grammatico, Navakadretia – Rattez.
Remplaçants : Algisi, Fichten, Uva, Postal, Rouet, Jasmin, Smith et Zanon.
 
SB


Commentaires

  1. Avatar de dédé

    Tarbes nous a encore fait déjoué. C’est tout de même un point pris.

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