Tout ça pour ça. Auteur d’une copie parfaite en poule, avec quatre succès bonifiés, le Stade toulousain aurait pu espérer accueillir dimanche (16h00) un adversaire plus abordable que le Racing 92, passé de justesse en huitième.
« Le fait que le Racing se soit retrouvé 16e de la phase préliminaire a brouillé les cartes classiques de cette Champions Cup », concède l’entraîneur toulousain Ugo Mola. « Dimanche soir, quoi qu’il arrive, une très bonne équipe quittera cette compétition dès les huitièmes de finale. »
La sienne partira favorite dans son stade Ernest-Wallon, d’autant que les Ciel et Blanc devront composer sans leur demi de mêlée Nolann Le Garrec, révélation française du Tournoi des six nations.
« C’est le plus gros match de l’année pour nous, contre une des meilleures équipes d’Europe. C’est un énorme obstacle mais c’est faisable », estime le manager anglais du Racing Stuart Lancaster, qui bénéficiera du retour en troisième ligne du capitaine des Springboks Siya Kolisi.
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